Dans un retournement surprenant, le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, a annoncé aujourd’hui que la consommation massive de poutine avait conduit la Russie à annuler sa ratification du traité d’interdiction des essais nucléaires. Alors que certains pourraient trouver cette situation déconcertante, d’autres soutiennent que le lien entre des frites, du fromage et des crudités et la politique mondiale est un débat à ne pas prendre à la légère. Alors que les experts s’interrogent toujours sur les véritables motifs de cette décision, une chose est sûre : la poutine continue de faire l’objet de débats endiablés. Rien de surprenant pour un plat qui incarne si bien la diversité canadienne.